
Antibiotique générique augmentin
Comment ce médicament agit-il? Quels sont ses effets?
La ciprofloxacine appartient à la classe des médicaments appelés inhibiteurs de la polymérase.
Elle s'utilise pour traiter certaines infections bactériennes telles que les infections causées par des bactéries du genre Escherichia coli, ShigellaStaphylococcus aureus, et certaines infections de la peau, de la bouche ou de l'appareil urogénital.
Ce médicament est disponible sous divers noms de marque ou sous différentes présentations.Une marque spécifique de ce médicament n'est peut-être pas offerte sous toutes les formes ni avoir été approuvée contre toutes les affections dont il est question ici. En outre, certaines formes de ce médicament pourraient ne pas être utilisées contre toutes les affections mentionnées dans cet article.
Il se pourrait que votre médecin ait suggéré ce médicament contre une affection qui ne figure pas dans cet article d'information sur les médicaments.Si vous n'en avez pas encore discuté avec votre médecin, ou si vous avez des doutes sur les raisons pour lesquelles vous prenez ce médicament, consultez-le. Ne cessez pas de prendre ce médicament sans avoir consulté votre médecin au préalable.
Ne donnez pas ce médicament à quiconque, même à quelqu'un qui souffre des mêmes symptômes que les vôtres.Ce médicament pourrait nuire aux personnes pour lesquelles il n'a pas été prescrit.
Sous quelles formes ce médicament se présente-t-il?
100 mg
Comparer la posologie et les effets secondaires avec ceux d’un autre médicament
Comment doit-on employer ce médicament?
La ciprofloxacine est habituellement prise par voie orale. On doit prendre ce médicament au repas du matin.
Les médecins ont indiqué qu'il est important de suivre les instructions de dosage de votre médecin.
Vous devez prendre la ciprofloxacine une fois par jour.Le temps nécessaire pour que les antibiotiques fassent effet peut varier d'un individu à l'autre. Il est important de prendre la ciprofloxacine selon les instructions de votre médecin.
Les antibiotiques sont pris par voie orale avec un verre d'eau, au repas du matin ou au déjeuner.
La ciprofloxacine peut être prise avec ou sans nourriture.
Après la prise du médicament vous devriez vous sentir mieux.
Ne changez pas de votre propre chef le dosage prescrit.
Il se pourrait que ce médicament engendre certains effets secondaires.Les effets secondaires suivants peuvent se manifester :
Les effets secondaires suivants peuvent se manifester :
Consultez votre médecin si vous ressentez l'un des effets secondaires suivants, surtout s'ils sont de sévérité importante ou s'ils sont inquiétants.
Les effets secondaires fréquents
Si vous ressentez des maux de tête, des bouffées de chaleur, des maux d'estomac, des douleurs musculaires, des vomissements, une diarrhée, de la fièvre ou une sensation de froid, des démangeaisons, des étourdissements, de la fatigue, de la confusion ou une perte d'appétit, vous devriez consulter votre médecin immédiatement.
Les effets secondaires rares
Si vous ressentez un effet secondaire qui vous inquiète, comme une éruption cutanée, une enflure du visage, des cloques ou de l'urticaire, communiquez avec votre médecin.
Les effets secondaires très rares
Certaines personnes ayant pris ce médicament ont éprouvé des effets secondaires très rares :
- des réactions d'hypersensibilité, comme une réaction allergique, une crise d'asthme, un gonflement du visage, de la langue ou de la gorge ;
- des douleurs thoraciques ;
- des signes d'une réaction cutanée très allergique comme une éruption cutanée et une enflure de la bouche ou de la gorge ;
- des signes d'une réaction grave pouvant inclure une respiration plus laborieuse, des difficultés respiratoires, une fréquence cardiaque très lente, de l'agitation, des tremblements ;
- des signes d'un taux de sucre sanguin élevé (par ex. des maux de tête, des saignements de nez, une pâleur, une difficulté à respirer, une perte de l'appétit, une perte de poids), une confusion ou une irritabilité ;
- des symptômes d'un problème musculaire (par ex. de la faiblesse musculaire, de la douleur musculaire, une enflure, de la raideur musculaire) ;
- des signes de saignements de l'estomac (par ex. une perte de sang ou des selles noirâtres) ;
- des symptômes d'une infection fongique (par ex. de la desquamation, de la démangeaison, de la rougeur ou de l'écoulement de pus de la peau) ;
- des symptômes d'une infection des voies urinaires (par ex. des brûlures ou une sensation de vidange incomplète de la vessie) ;
- des symptômes d'un faible taux de sodium dans le sang (par ex. des étourdissements, une sensation de tête légère, de la confusion, de la nausée, des vomissements, une soif excessive) ;
- des symptômes de problèmes hépatiques (par ex. de la nausée, des vomissements, de la diarrhée, une perte d'appétit, une perte de poids, une perte de l'appétit, du jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine foncée, des selles claires, des selles grises, une démangeaison cutanée).
Les effets secondaires peu fréquents
Certaines personnes ayant pris ce médicament ont éprouvé des effets secondaires peu fréquents :
- des saignements du nez ;
- des problèmes d'estomac ou de l'intestin ;
- des problèmes de foie ;
- des problèmes de vision ;
- une douleur thoracique ;
- un rythme cardiaque lent ou irrégulier.
Certaines personnes ayant pris ce médicament ont éprouvé des effets secondaires rares :
- des signes de problèmes de la circulation sanguine comme une douleur, une enflure ou une pâleur de la peau ;
- des battements de cœur rapides ou irréguliers ;
- une difficulté à respirer ou à avaler ;
- des signes d'une réaction allergique grave (par ex. de l'urticaire, une enflure de la bouche, de la gorge ou de la langue).
- une enflure des mains, des chevilles ou des pieds ;
- des changements dans le champ visuel ;
- une éruption cutanée ;
- une inflammation du foie ;
- des étourdissements ;
- une sensation de tête légère ;
- des signes de problèmes cardiaques comme une douleur dans la poitrine, des battements de cœur irréguliers, une enflure de la bouche, du visage ou de la gorge, un essoufflement, une sensation de fatigue ou de faiblesse ;
- un saignement de nez inhabituel ;
- des signes d'une réaction allergique très grave (par ex. des crampes abdominales, une difficulté à respirer, de la sudation, des étourdissements).
Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s'applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice.
L’apparition de la toxoplasmose chez le chat est liée à un déficit en Toxoplasma gondii, bactérie responsable de l’infection, ou à une infection maternelle à Toxoplasma gondii transmis par la mère.
Chez l’homme, la toxoplasmose se transmet par la salive et les déjections, mais la plupart du temps, elle ne provoque pas de symptômes et elle est très rarement mortelle. Elle est plus fréquente chez les sujets immunodéprimés ou porteurs du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), et plus rarement chez ceux qui ont subi un traitement antirétroviral. La toxoplasmose peut aussi se transmettre lors de morsures de chat et de viande crue. Des tests sérologiques et biologiques sont utilisés pour le dépistage du parasite chez les porteurs du VIH, ainsi que chez les sujets immunodéprimés. L’infection peut également se transmettre par les selles et l’urine. Les femmes enceintes et les nouveau-nés de mères infectées doivent également être dépistés. Chez la femme enceinte, la toxoplasmose peut se transmettre au fœtus par le placenta et provoquer une infection fœtale sévère et une mort in utéro ou fœtale. En France, elle est diagnostiquée chez environ 300 000 personnes chaque année.L’incubation dure entre une et trois semaines, parfois moins longtemps. La contamination peut être liée à l’ingestion de viande crue contaminée ou au contact avec des sécrétions salivaires ou vaginales. Elle s’observe surtout chez les personnes immunodéprimées, ou porteuses du VIH et chez les femmes enceintes. Le diagnostic est confirmé par un test sérologique et biologique, par PCR (polymerase chain reaction) ou par sérologie directe à partir de l’échantillon de sécrétions ou de la salive d’un sujet sain. Le traitement curatif repose sur l’administration d’antitoxines à la femme enceinte ou au nouveau-né, en cas de contamination maternelle. En l’absence de traitement, le diagnostic peut être différé, jusqu’à ce que le sujet soit guéri ou que le dépistage ait mis en évidence une infection par le virus.Chez le chat, le diagnostic se fait sur la sérologie par PCR, à partir de prélèvements sanguins sur un animal contaminé. Ce test est plus sensible que le test sanguin de dépistage de la toxoplasmose chez l’homme.La toxoplasmose chez le chat : symptômes
Chez le chat, le diagnostic se fait sur la sérologie par PCR, à partir de prélèvements sanguins sur un animal contaminé. Ce test est plus sensible que le test sanguin de dépistage de la toxoplasmose chez l’homme.La toxoplasmose chez le chat : symptômes
Le principal symptôme de la toxoplasmose est une atteinte oculaire : il s’agit de la conjonctivite due à une prolifération bactérienne dans la partie inférieure de la cornée. Cette inflammation est due à l’infection par le parasite Toxoplasma gondii. Elle peut se manifester sous différentes formes, allant du simple œil rouge, au plus grave, la conjonctivite avec rupture du film lacrymal ou inflammation de la muqueuse de l’œil. Les symptômes disparaissent généralement en une semaine. Si les lésions sont sévères, une kératite peut se développer. Les lésions peuvent aussi se manifester sous la forme de kystes de la paupière et la cataracte peut être la conséquence d’une atteinte oculaire.
La toxoplasmose chez le chat : traitement
Le traitement curatif de la toxoplasmose chez le chat repose sur l’administration d’antitoxines spécifiques. Ce traitement repose sur l’administration d’antitoxines spécifiques. Ce traitement doit être réalisé par un vétérinaire ou un centre hospitalier, car ces médicaments nécessitent une surveillance constante par un médecin ou un laboratoire d’analyses d’images. Il est possible de traiter une première fois par les antitoxines spécifiques, puis de faire un nouveau traitement par les antitoxines spécifiques pour éviter une récidive des lésions. Le traitement dure deux semaines et se déroule en deux temps : une première injection d’antitoxine spécifique suivie d’une seconde injection de 15 jours d’antitoxine spécifique. En cas de récidive, le traitement est à nouveau répété en plusieurs injections.
La toxoplasmose chez le chat : prévention
Le chat est souvent le seul animal qui ne soit pas infecté par la toxoplasmose. Cependant, en grandissant, il peut se contaminer. Il est donc indispensable de protéger son chat contre les risques d’infection. Il est possible de protéger le chat contre la toxoplasmose par la vaccination annuelle, par le dépistage de la contamination maternelle et par la vaccination anti-rabique à jour de l’obligation vaccinale pour les chats.
La toxoplasmose chez le chat : prise en charge
La toxoplasmose chez le chat est une maladie relativement fréquente, qui peut affecter plus d’une personne sur cinq par an. Les chats domestiques sont les plus souvent touchés. Il est donc important de prendre soin d’eux pour éviter la transmission de la maladie. Les vaccins sont recommandés chez les chats domestiques contre la leucose féline, la rage et le coryza, mais aussi contre la toxoplasmose. La vaccination contre la leucose féline est recommandée pour les chats adultes, mais pas pour les chatons. La vaccination contre la rage est recommandée pour les chats domestiques, mais pas pour les chats sauvages ou errants. La vaccination contre la rage est obligatoire pour les chats vivant en France et les chats voyageurs en provenance d’un pays d’endémie de la rage. Les chats domestiques doivent être vaccinés contre la rage au moins six semaines avant leur départ en France.
Lire la suite : - Elle s’observe surtout chez les femmes enceintes et les nouveau-nés de mères infectées doivent également être dépistés.
- L’incubation dure entre une et trois semaines, parfois moins longues.
Prévention et prise en charge de l’insuffisance rénale aiguë chez le nouveau-né et le nourrisson - Déclaration des événements indésirables associés aux soins (EvRAS)
Sommaire
Introduction
Principaux évènements indésirables
Le pronostic de l'insuffisance rénale aiguë chez l'enfant est médiocre. En l'absence de traitement précoce et/ou de mesures hygiéno-diététiques, l'insuffisance rénale chronique peut conduire à la dialyse ou à la greffe rénale.
Le risque de mortalité ou de morbidité liée à l'insuffisance rénale aiguë est très élevé et peut survenir chez l'enfant dès 30 minutes après le début des signes cliniques. Le risque de décès varie entre 1% et 3%. Le pronostic dépend de la sévérité de l'insuffisance rénale et de l'âge de l'enfant.
L'insuffisance rénale aiguë est considérée comme une urgence médicale par les réanimateurs et les médecins néphrologues. Il est donc essentiel d'agir en amont et d'identifier précocement les enfants susceptibles d'être hospitalisés pour insuffisance rénale aiguë. Il est essentiel de faire preuve de la plus grande réactivité possible face à l'insuffisance rénale aiguë et de la meilleure tolérance possible pour l'enfant en cas d'hospitalisation.
L'insuffisance rénale aiguë est une urgence médicale qui doit être prise en charge par un service hospitalier spécialisé en néphrologie et/ou un médecin néphrologue.
Une déclaration d'événement indésirable (EvRAS) doit être effectuée par le soignant et transmise par le service hospitalier.
Les recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) sont présentées dans le document téléchargeable.
Des outils d'aide à la déclaration d'EvRAS sont également disponibles sur le site de la HAS.
Déclaration de l'EvRAS
En cas de symptômes, il est essentiel de les signaler au personnel soignant et de contacter un service de néphrologie spécialisé en réanimation. Il est important de noter que les enfants peuvent avoir des difficultés à décrire les symptômes et les signes observés.
Une déclaration d'EvRAS est faite par le personnel soignant. Elle est envoyée par le médecin à la HAS pour validation et est accessible à tous sur le site de la HAS. Il est important de prendre en compte les recommandations de la HAS dans vos prises en charge et de les faire remonter au personnel soignant en cas d'urgence.
La déclaration d'EvRAS doit comporter :
La date et l'heure de début de l'événement
Le nom et les coordonnées du patient
Le contexte de début de l'événement
Le nom et les coordonnées du médecin ayant signalé l'événement
L'identification du patient
La description des symptômes
Le pronostic et le type de prise en charge proposée
La décision de déclenchement de l'hospitalisation
La déclaration d'EvRAS doit être effectuée par écrit et envoyée au plus tôt dans les 4 heures suivant la constatation des signes cliniques.
Les enfants peuvent avoir des difficultés à décrire les symptômes et les signes observés. Les professionnels de santé doivent donc être sensibilisés à l'attention portée aux enfants et au bon usage de ce document.
Prévention et prise en charge de l'insuffisance rénale aiguë chez le nouveau-né et le nourrisson
Les principales mesures préventives et thérapeutiques pour prévenir l'insuffisance rénale aiguë chez le nouveau-né et le nourrisson sont :
La prévention de la prématurité
Les facteurs de risque de prématurité sont nombreux : antécédent familial de prématurité, naissance prématurée, prématurité importante, anomalies du développement du nouveau-né et de l'enfant. Ces facteurs de risque ont été mis en évidence par des études épidémiologiques, notamment des études de cohortes prospectives, qui ont montré que l'insuffisance rénale du nouveau-né augmente le risque de prématurité et de naissance prématurée de manière dose-dépendante.
Plusieurs études prospectives randomisées ont montré une association significative entre la prématurité et l'insuffisance rénale aiguë.
Ces études ont également montré une augmentation du risque de néphropathie néonatale (insuffisance rénale aiguë) chez les prématurés, même dans les cas de naissance à terme, en l'absence de prématurité.
De même, des études rétrospectives ont montré que l'insuffisance rénale chronique à la naissance est associée à un risque de prématurité.
Le terme prématurité est utilisé pour décrire la naissance d'un enfant avant la date prévue de terme. Les termes néonatologie et néonatologie sont employés de manière équivalente pour décrire la naissance d'un enfant avant le terme de la grossesse.
Le terme prématurité comprend également les naissances prématurées spontanées, qui sont liées à des facteurs de risque tels que le manque d'oxygène et de nutriments pendant la grossesse ou l'accouchement prématuré.
La prévention de l'hypertension artérielle chez les enfants
L'hypertension artérielle est un facteur de risque majeur d'insuffisance rénale chronique chez le nouveau-né. Le risque de décès dans les 30 jours suivant un épisode d'hypertension est multiplié par deux avec une fréquence cardiaque et une pression artérielles plus élevées.
Ces facteurs de risque peuvent être modifiés par des mesures préventives telles que la prescription de médicaments antihypertenseurs (diurétiques, bêtabloquants, inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine, inhibiteurs de l'α1-antitrypsine) chez les nouveau-nés à terme, qui sont également utilisés pour traiter la prééclampsie, l'insuffisance rénale aigüe et les maladies cardiovasculaires chez les enfants à risque.
La prévention de l'hypertension artérielle chez les nouveau-nés à terme est également importante car elle diminue le risque de mortalité et de morbidité chez les enfants à risque.
Une prématurité élevée augmente le risque de mortalité néonatale et de mortalité infantile prématurée, en particulier chez les enfants à haut risque. Dans les études publiées, les résultats varient considérablement en termes de mortalité néonatale, et les facteurs de risque sont souvent inconnus ou mal compris.
Les données suggèrent que la prématurité est associée à une augmentation du risque de mortalité et de morbidité.
Les facteurs de risque de prématurité sont le syndrome de Cockayne, le syndrome de Cockayne, l'insuffisance rénale chronique, les malformations congénitales, la dysplasie ventriculaire ou le retard de croissance intra-utérin (DCI).
Les recherches récentes ont montré que les facteurs de risque de mortalité néonatale et de morbidité chez les enfants à haut risque peuvent être liés à des anomalies du développement du nouveau-né ou de l'enfant ou à la prématurité.
L'insuffisance rénale chronique est une cause majeure de morbidité et de mortalité néonatale et infantile prématurée. Les enfants qui présentent un faible poids à la naissance, une petite taille fœtale, une naissance prématurée ou un retard de croissance intra-utérin sont plus susceptibles de souffrir d'insuffisance rénale chronique que les enfants de poids normal.
Les résultats suggèrent que la prématurité est associée à une augmentation du risque de mortalité néonatale et de morbidité chez les enfants à haut risque.