
Atarax de générique
Médicament à prescription médicale obligatoire
Selon le texte de la loi sur les produits pharmaceutiques (LPPh) :
Loi sur les produits pharmaceutiques du 28 février 1998 (120 010)
Le texte complet est disponible sur :
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Atorax et constipation
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Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 27 Janvier 2021.
La constipation est un symptôme commun et parfois déroutant. C'est un trouble qui est causé par un déséquilibre du système digestif, et il existe une variété de raisons pour lesquelles il peut survenir.
La constipation peut affecter les personnes de tous âges, mais certaines affections sous-jacentes peuvent rendre la constipation plus probable.
Le trouble peut être léger ou grave, selon la cause.
Les symptômes de constipation peuvent inclure des difficultés à évacuer les selles et un inconfort abdominal. Certains problèmes de santé sous-jacents peuvent être responsables des symptômes, tels que la perte de poids, une maladie rénale ou des antécédents médicaux familiaux de constipation.
La constipation est-elle normale ?
La constipation peut être normale, mais il est important de parler à un médecin pour déterminer si elle est le résultat d'un problème de santé sous-jacent. Les problèmes de santé courants qui peuvent provoquer des problèmes de constipation sont l'obésité, l'hypertension, le diabète et certaines maladies des reins et du foie.
La constipation peut également être un symptôme de conditions telles que le syndrome du côlon irritable (SCI), la maladie de l'intestin irritable, la diverticulite et le cancer du côlon. La constipation peut être traitée avec des médicaments ou par la chirurgie.
Quels sont les facteurs de risque de constipation ?
L'une des causes les plus courantes de constipation est la constipation due à des facteurs sous-jacents tels que l'obésité, l'hypertension, le diabète et certains problèmes de santé des reins et du foie. Les symptômes de constipation sont généralement associés à un ou plusieurs de ces facteurs de risque.
Quels sont les symptômes de la constipation ?
La constipation peut être causée par un certain nombre de facteurs, tels que le manque d'exercice, une alimentation inadéquate ou un excès de consommation d'alcool. Les symptômes de constipation comprennent généralement les symptômes suivants :
- Difficulté à évacuer les selles, avec ou sans selles dures
- Maux d'estomac et nausées
- Besoin de faire pipi plus souvent
- Inconfort abdominal
La constipation peut être très gênante, mais il existe des moyens de l'éviter. Les mesures suivantes peuvent être prises pour soulager les symptômes :
- Consommez des aliments riches en fibres : Les aliments riches en fibres tels que les fruits, les légumes, les haricots et les noix sont une excellente source de fibres alimentaires qui peuvent aider à soulager la constipation.
- Faites de l'exercice régulièrement : La marche, la natation, la gymnastique et la danse sont des activités très bénéfiques pour le système digestif. Elles stimulent également le côlon, ce qui peut aider à prévenir la constipation.
- Mangez un repas équilibré : Les aliments riches en fibres sont généralement bien tolérés et peuvent aider à réduire la constipation.
Il est également important de se rappeler que la constipation peut avoir un impact négatif sur la santé mentale. La constipation peut être difficile à gérer émotionnellement, mais il existe des moyens de soulager les symptômes.
Comment traiter la constipation ?
Il existe plusieurs façons de traiter la constipation. Les médicaments peuvent aider à traiter la constipation à court terme, mais ils ne la soulageront pas à long terme. L'auto-traitement peut être utile si vous êtes motivé et si vous savez ce qui cause votre constipation.
- Médicaments en vente libre : Il existe de nombreuses marques de médicaments en vente libre disponibles. Les laxatifs et les suppositoires sont des médicaments courants utilisés pour traiter la constipation.
- Solution saline : Il existe des produits en vente libre disponibles qui contiennent de l'eau salée. Ils peuvent être utilisés pour soulager la constipation.
- Suppléments : Il existe des suppléments disponibles en vente libre qui peuvent aider à soulager la constipation.
- Exercices : Il existe des exercices spécifiques pour aider à traiter la constipation.
Il est important de consulter un médecin si vous avez des questions ou des préoccupations concernant votre constipation.
«Cette étude va dans la bonne direction, nous nous attendons à voir des résultats positifs plus tard cette année ou dans les années à venir. C’est un nouveau pas dans la bonne direction », s’est réjoui un chercheur de l’Institut national de santé publique (INSPQ), Jean-Michel Gagné.
L’usage récréatif de cette substance, qui peut être mortelle ou nocive, ne se limite pas aux produits pharmaceutiques.
Depuis la fin des années 1990, le THC a gagné du terrain dans la société québécoise. Il est devenu la drogue préférée des jeunes. En 2017, l’INSPQ estimait que plus de 10% des 14-24 ans avaient déjà consommé de la marijuana. Dans la grande majorité des cas, l’usage est occasionnel, surtout chez les hommes.
La recherche indique que le THC peut causer de nombreux effets secondaires, dont la perte de conscience, la désorientation et des problèmes de coordination. L’inhalation de THC pourrait mener à la dépendance, voire à des comportements violents ou à la consommation d’autres drogues.
Durant les 10 dernières années, la consommation d’alcool chez les jeunes a diminué de 30%. Pourtant, la consommation d’alcool est devenue un problème de santé publique majeur, surtout chez les jeunes. Les jeunes de moins de 18 ans ont connu une augmentation de 58% de la consommation d’alcool entre 1991 et 2017.
La consommation d’alcool semble également s’accentuer chez les femmes. Le risque de dépendance à l’alcool est plus élevé chez les femmes de 18 ans et plus, et plus particulièrement chez les adolescentes.
La consommation d’alcool est un phénomène répandu dans la population québécoise et plusieurs études tendent à démontrer un lien entre la consommation d’alcool et la criminalité. Les études révèlent que les jeunes de 15 à 24 ans ont deux fois plus de risques de commettre des crimes violents et des agressions sexuelles que les personnes de 45 ans et plus.
Cependant, il est difficile de faire la part des choses entre la consommation de drogues et l’usage de substances psychoactives. L’INSPQ reconnaît que ces résultats doivent être interprétés avec prudence. Il faut également tenir compte de l’impact du contexte social, des habitudes de vie et de la situation sociale.
Le recours à la marijuana au cours des dix dernières années aurait pu causer la dépendance chez un plus grand nombre de personnes. Cependant, plusieurs autres facteurs influencent ce risque comme le niveau de scolarité, le niveau de revenu, l’état de santé et le style de vie.
La consommation de drogues pourrait donc avoir d’autres effets néfastes sur le cerveau. Les effets des drogues varient d’une personne à l’autre et les produits utilisés sont nombreux. Les effets peuvent être physiques, psychiques ou sociaux.
Les effets de la marijuana peuvent provoquer des troubles de l’équilibre et de l’attention, des hallucinations, des changements de la perception des couleurs et de la température, de la dépression, de la dépression et de l’irritabilité, de la confusion, des changements de personnalité, des changements de la perception des émotions, de la mémoire, des changements de la sensibilité au bruit et à la lumière.
Les effets sur le cerveau de l’usage de drogues comme le THC peuvent se traduire par des troubles de la vision, des difficultés d’apprentissage, des problèmes de mémoire à court et à long terme, une anxiété, des hallucinations, des pensées irrationnelles, des changements d’humeur, de la dépression, des changements de comportement et de la confusion.
Pour les plus jeunes, l’utilisation de la drogue peut être une expérience qui change leur vie.
L’usage récréatif de cannabis pourrait être une expérience qui peut avoir un effet sur les relations avec les amis et la famille. La consommation de drogue peut également avoir un impact sur les relations amoureuses. Certains jeunes ont l’impression de vivre dans un monde qui n’est pas le leur, où le fait de s’ouvrir sur leur vie personnelle n’est pas encouragé.
Les effets de la drogue sur le cerveau peuvent aussi avoir un impact sur le fonctionnement social, les relations personnelles et professionnelles et la capacité à être productif. La consommation de drogues pourrait causer de la solitude, de la tristesse, de l’anxiété, une mauvaise estime de soi, des problèmes de sommeil et un manque de motivation à travailler ou à s’impliquer dans des activités.
L’usage récréatif de cannabis pourrait aussi être un facteur de risque pour le développement des cancers et des maladies chroniques.
Ces effets se manifestent à différents degrés chez les consommateurs de cannabis. Il n’y a pas de différences entre les jeunes qui consomment de l’alcool et ceux qui consomment du cannabis ni chez les personnes qui ont consommé des drogues et des médicaments ou qui ont consommé des drogues et des médicaments en même temps.
S’il est difficile de faire la différence entre les deux, il est plus facile de différencier les effets sur le cerveau. Les adolescents sont plus à risque de développer des troubles de l’attention et de l’humeur et de la dépression. Il est possible que ces effets apparaissent plus tard. Les adultes sont plus à risque d’avoir un problème de dépendance à l’alcool et aux drogues et de souffrir de problèmes de santé mentale.
Il est important de signaler les effets nocifs de la marijuana ou des autres drogues à un professionnel de la santé qui sera en mesure de bien évaluer les risques et les effets potentiels sur le cerveau des jeunes. Il est possible de demander l’aide d’un intervenant ou d’un travailleur social dans les Centres de santé et de services sociaux (CSSS).
Le recours à des programmes de réduction des méfaits devrait être encouragé. Ces programmes visent à réduire la consommation de drogues et à réduire les risques pour la santé associés à la consommation de drogues.
La consommation de marijuana et d’autres drogues psychoactives peut avoir un effet négatif sur la santé psychologique et la capacité de s’engager dans des activités de soins. Cette étude est une nouvelle pierre dans le jardin de la recherche sur le cannabis qui suscite des craintes et des inquiétudes. Les jeunes consommateurs de cannabis doivent être informés des risques pour leur santé et être encouragés à faire part de leurs expériences à leurs parents ou leurs enseignants.
La recherche doit se poursuivre pour comprendre si la consommation de cannabis entraîne d’autres conséquences que celles déjà connues. Le cannabis demeure une drogue récréative à risque. Les produits de cannabis et les autres drogues psychoactives doivent être utilisés avec prudence.
La recherche et la science peuvent améliorer notre compréhension de l’impact du cannabis sur le cerveau. Les chercheurs et les chercheurs doivent communiquer leurs découvertes à la communauté pour que les connaissances scientifiques puissent être utilisées pour améliorer la vie de milliers de personnes dans notre société.
Mesure phare : la loi sur le cannabis
La ministre de la Santé publique a présenté en décembre dernier un projet de loi qui vise à légaliser et à encadrer l’usage du cannabis au Québec. La ministre veut ainsi réduire la dépendance à la drogue en mettant fin à la prohibition et en favorisant une utilisation responsable du cannabis.
Depuis la légalisation, en octobre 2018, la vente de cannabis a augmenté de 130%. Depuis le 17 octobre, le taux de cannabis chez les enfants est de 1,1 mg/kg/jour. Les adolescents (13-17 ans) ont un taux d’environ 2 mg/kg/jour. Pour les adultes (18 ans et plus), le taux s’élève à 3 mg/kg/jour.
Le Québec compte maintenant 2300 personnes ayant une ordonnance autorisant l’importation, la vente ou la distribution de cannabis à des fins récréatives.
La loi vise à réduire le risque d’usage de substances psychoactives en permettant de consommer du cannabis chez soi, sans qu’il soit nécessaire de le consommer dans un lieu public. Ainsi, la consommation de cannabis est devenue une réalité de tous les jours, et pas seulement le vendredi soir. L’interdiction de sa vente dans les bars a créé un vide. Les jeunes ont donc pu se procurer du cannabis et l’utiliser. Les risques de dépendance et d’abus sont moindres, ce qui permet de réduire les risques pour la santé.
Avec la légalisation du cannabis, de nouveaux défis apparaissent. Ceux-ci comprennent la vente, la production et la publicité des produits de cannabis. Ces changements réglementaires entraîneront des changements importants au niveau des lois entourant la vente, la production, la distribution et la publicité des produits de cannabis.
D’autres changements réglementaires sont prévus. Ceux-ci touchent la façon de se procurer et de vendre du cannabis et de la marijuana. Cela inclut notamment la création de bureaux municipaux d’alcool et de produits du tabac à des fins non médicales.
Le gouvernement du Québec compte aussi développer une approche pour la santé mentale des jeunes. Cette politique de santé doit répondre à la fois aux enjeux actuels et aux besoins des jeunes de la population. Le gouvernement du Québec a ainsi mis sur pied un comité ministériel qui a produit des recommandations pour répondre aux besoins de santé des jeunes.