
Aciclovir
Les infections à Herpès simplex sont plus fréquentes que les infections à Herpès génital. Les signes cliniques sont les mêmes, avec des formes cliniques plus variées selon la personne.
Qu'est-ce que l'herpès génital ?
L’herpès génital est une infection sexuellement transmissible causée par un virus de la famille des Herpes simplex virus, Herpès simplex virus type 1 ou virus de l'herpès simplex de type 2Ce virus se retrouve principalement chez les jeunes femmes, entre 15 et 25 ans, dont le virus se transmet lors de contacts sexuels non protégés. Il existe trois types de virus de l'herpès génital.
L’herpès génital peut provoquer des lésions douloureuses, ressemblant à un bouton de fièvre (herpès simplex type 1) ou à une vésicule (herpès simplex type 2). Le virus est souvent transmis lors des rapports sexuels non protégés (vaccin contre le zona). Les personnes porteuses du virus peuvent aussi le transmettre à d'autres personnes, même sans signes cliniques d'herpès génital.
Quels sont les symptômes de l'herpès génital ?
Dans la plupart des cas, les symptômes de l’herpès génital ne sont pas spécifiques : ils sont très variables d’une personne à l’autre. Ils peuvent être similaires à ceux d’autres infections sexuellement transmissibles (IST). Les symptômes peuvent être plus prononcés si le virus se transmet dans le sang ou au niveau des muqueuses (ex : les lèvres).
Symptômes du virus de l’herpès génital
Le virus de l'herpès génital peut provoquer des lésions douloureuses, ressemblant à un bouton de fièvre (herpès simplex type 1) ou à une vésicule (herpès simplex type 2).
Les symptômes du virus de l’herpès génital peuvent être plus prononcés si le virus se transmet dans le sang ou au niveau des muqueuses (ex : les lèvres).
Quels sont les facteurs de risques de l’herpès génital ?
Les facteurs de risques sont des facteurs de risque communs aux personnes infectées par le virus de l'herpès génital. Il s’agit de facteurs de risque qui augmentent le risque de contracter une infection sexuellement transmissible. Il faut également préciser qu’il existe des facteurs de risque spécifiques à la personne qui ont été identifiés chez les personnes infectées par le virus de l’herpès génital. Il s’agit :
- de la transmission du virus lors des rapports sexuels non protégés (vaccin contre le zona) ;
- de la présence de lésions sur les muqueuses (ex : lèvres) ;
- de l’utilisation de préservatifs ;
- des antécédents de lésions dans la bouche. Si la personne infectée a été vaccinée contre le zona, elle peut avoir été exposée au virus dans sa vie ;
- du fait d’une immunodépression ;
- de la prise de médicaments contenant du millepertuis.
Quelles sont les complications de l’herpès génital ?
Les complications sont des complications de l’herpès génital. Elles peuvent survenir chez toute personne infectée par le virus. Elles sont rares et surviennent à partir de la première semaine d'infection. Elles sont :
- la survenue de lésions dans le corps ou dans la bouche, pouvant provoquer des douleurs ;
- des complications au niveau du cerveau (encéphalite), de la moelle épinière ou de la peau (méningite herpétique).
Quelles sont les complications de l’herpès génital chez la femme enceinte ?
L’herpès génital chez la femme enceinte peut survenir en début de grossesse, au moment du déclenchement du travail ou du passage en siège. Les complications peuvent être :
- une infection au virus de l’herpès génital, qui peut entraîner une fausse couche ;
- une infection du système nerveux central (encéphalite herpétique), qui peut entraîner une paralysie du cordon ombilical. Il existe également des complications neurologiques plus rares qui peuvent entraîner une paralysie des jambes ;
- des infections du système nerveux (encéphalite) ;
- des infections au VIH et au virus de l'hépatite B ou C (infection par le virus de l’immunodéficience humaine ou VIH), qui peuvent évoluer en infections opportunistes.
L’herpès génital est très fréquent chez les femmes qui ont des rapports sexuels non protégés. Il peut donc apparaître durant la grossesse et après l’accouchement. L’herpès génital pendant la grossesse peut provoquer des complications obstétricales et fœtales, à l’origine de graves séquelles neurologiques.
Quels sont les symptômes de l'herpès génital en cas de grossesse ?
Les symptômes de l'herpès génital en cas de grossesse sont très variables d'une femme à l'autre. Il s'agit surtout de lésions apparaissant lors des rapports sexuels non protégés, de symptômes généraux (peuvent se manifester à tout moment de la grossesse) et de symptômes neurologiques. En cas de vésicule infectée, des complications néonatales peuvent survenir.
Les facteurs de risque de l’herpès génital pendant la grossesse
L’herpès génital en cas de grossesse peut apparaître chez toutes les femmes enceintes. Il s’agit surtout de lésions dues aux contacts sexuels non protégés. Il existe des facteurs de risque communs aux personnes infectées par le virus de l'herpès génital qui augmentent le risque de contracter une infection sexuellement transmissible. Il faut préciser qu’il existe des facteurs de risque spécifiques à la personne qui ont été identifiés chez les personnes infectées par le virus de l'herpès génital. Il s'agit :
- de la présence de lésions dans la bouche ou le système digestif (encéphalite, méningite herpétique) ;
En cas de grossesse, il faut éviter de partager son/ses flacon(s) de gel hydroalcoolique avec une autre femme ou un autre partenaire.
Quelles sont les complications de l’herpès génital pendant la grossesse ?
Le virus de l’herpès génital peut se transmettre au bébé pendant la grossesse. Il s’agit de complications très fréquentes, qui surviennent généralement lors du passage en siège. Le risque augmente aussi si la mère a été contaminée avant la grossesse et si elle a été vaccinée contre le zona. Les complications sont :
- l’herpès génital ;
- l’infection à virus de l’immunodéficience humaine ou VIH.
Le risque de complication de l’herpès génital est plus élevé si la femme enceinte est porteuse du virus. Si la femme enceinte a été contaminée dans le passé, le risque augmente encore plus.
L'herpès génital chez les bébés
L’herpès génital chez un bébé peut survenir à tout moment de la grossesse et après l’accouchement. Le virus se transmet lors de la grossesse ou dans l’utérus, dans le cordon ombilical ou lors du passage en siège. Il s'agit d'un virus très contagieux qui peut se transmettre facilement aux nouveaux-nés, lors des contacts sexuels non protégés (ex : lésions dues aux rapports sexuels). Il existe également des complications neurologiques liées à l'infection du système nerveux central qui peuvent entraîner une paralysie du cordon ombilical ou du système nerveux central.
Symptômes de l’herpès génital chez le bébé
Les symptômes de l’herpès génital chez un bébé sont les mêmes. Il s'agit de symptômes généraux (peuvent se manifester à tout moment de la grossesse) et de symptômes neurologiques.
Quels sont les facteurs de risque de l’herpès génital chez le bébé ?
Le risque de complication de l’herpès génital est plus élevé chez les nouveau-nés de femmes infectées. Le risque de complication de l’herpès génital augmente si la mère est contaminée dans le passé et si elle a été vaccinée contre le zona.
Que contient le vaccin Zostavax ?
ZOSTAVAX contient une formulation du virus de la varicelle et du zona (VZV) contenant l'antigène Oka du VZV. Le vaccin contient un adénovirus modifié qui contient les parties de l'ADN du virus de la varicelle et du zona (VZV) et de l'antigène Oka du VZV. Ce vaccin est une dose unique du VZV contenant la souche du vaccin et des séquences d'antigènes de la varicelle et du zona.
ZOSTAVAX contient également de l'anatoxine diphtérique
. L'anatoxine diphtérique est un vaccin contre la diphtérie à base d'anatoxine diphtérique, préparée à partir du virus de la diphtérie provenant d'une souche vaccinale de vaccin à base d'anatoxine diphtérique. Le vaccin est administré par voie sous-cutanée à l'aide d'une seringue de 2 mL contenant de l'anatoxine diphtérique ou de la poudre sèche et une solution contenant de l'anatoxine diphtérique.
Quels sont les effets secondaires possibles de ce médicament ?
Beaucoup de médicaments peuvent provoquer des effets secondaires.Un effet secondaire est une réponse indésirable à un médicament lorsqu'il est pris à des doses normales. Il peut être léger ou grave, temporaire ou permanent.
Les effets secondaires énumérés ci-après ne sont pas ressentis par toutes les personnes qui prennent ce médicament. Si les effets secondaires vous inquiètent, discutez des risques et des bienfaits de ce médicament avec votre médecin.
Au moins 1 % des personnes prenant ce médicament ont signalé les effets secondaires ci-après. Un grand nombre de ces effets secondaires peuvent être pris en charge et quelques-uns peuvent disparaître d'eux-mêmes avec le temps.
Consultez votre médecin si vous ressentez ces effets secondaires et s'ils sont graves ou gênants. Votre pharmacien pourrait être en mesure de vous donner des conseils sur la conduite à tenir si ces effets secondaires apparaissaient :
- de l'agitation;
- de la diarrhée;
- de la douleur à l'estomac;
- des étourdissements;
- des frissons.
La plupart des effets secondaires figurant ci-après ne surviennent pas très souvent, mais ils pourraient cependant engendrer de graves problèmes si vous ne recevez pas des soins médicaux.
Renseignez-vous auprès de votre médecin au plus tôt si l'un des effets secondaires ci-après se manifeste :
- des changements au niveau de l'audition, comme une perception des fréquences basses ou une perte de la perception des hautes fréquences;
- des changements au niveau de la vision, notamment une vision trouble ou un changement de la perception de la lumière;
- des signes de dépression, tels que manque de concentration, irritabilité, troubles du sommeil, troubles de l'humeur, pensées suicidaires et idées ou attitudes de mort imminente;
- des signes de problèmes rénaux, tels qu'une douleur dans le dos ou l'abdomen, de la nausée, des vomissements, de la diarrhée, des émissions d'urine fréquentes, une douleur au rectum ou aux testicules, de la fièvre, une douleur dans les jambes ou les bras, de la fatigue ou des sueurs, des frissons, des maux de tête, des douleurs musculaires ou une douleur dans les articulations;
- des signes d'une réaction allergique (comme une boursouflure du visage, une enflure de la bouche, de la gorge ou de la langue),
- des signes de dépression, tels que une humeur dépressive, un manque de plaisir dans la vie, une irritabilité ou une difficulté à dormir;
- des symptômes attribuables à une infection par le VIH (comme de la fièvre, des maux de tête, une raideur de la nuque, des frissons, des maux de gorge, une perte de poids, une éruption cutanée ou une fatigue inhabituelle);
- des symptômes d'une réaction cutanée inflammatoire appelée dermatite exfoliative,
- des symptômes d'une réaction cutanée allergique (par ex. des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée qui s'étend, une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre, une éruption cutanée située sur une grande région du corps, une éruption cutanée située sur une petite région du corps),
- des symptômes d'une réaction cutanée appelée syndrome de Stevens-Johnson ou de la nécrolyse épidermique toxique,
- des symptômes attribuables à une infection à VIH (par ex. de la fièvre, une sensation de fatigue, une perte d'appétit, des sueurs nocturnes),
- une réaction cutanée grave (par ex. des cloques, une desquamation, une éruption cutanée recouvrant une grande région du corps, une éruption cutanée accompagnée d'une fièvre, une éruption cutanée située sur une grande région du corps, une éruption cutanée accompagnée d'une forte fièvre, des ulcérations cutanées localisées, des cloques),
- une réaction cutanée grave,
- de la faiblesse,
- des étourdissements graves,
- des étourdissements,
- des hallucinations,
- des hallucinations visuelles,
- des hallucinations auditives,
- une perte de conscience,
- une perte de connaissance,
- des pensées ou des comportements suicidaires,
- une vision floue,
- des signes de troubles hépatiques (par ex. une douleur abdominale, des nausées, de la fatigue ou des vomissements, une perte de l'appétit, une perte de poids, le jaunissement de la peau ou du blanc des yeux, une urine sombre, des selles claires, une douleur inhabituelle, un essoufflement).
Cessez la prise du médicament et sollicitez immédiatement des soins médicaux s'il se produit uneréaction allergique importante (p. ex. une boursouflure du visage, une enflure de la bouche, de la gorge, de la langue ou de la gorge).
Les symptômes de réactions allergiques graves comprennent une boursouflure du visage, une difficulté à respirer, une enflure de la bouche, de la gorge ou de la langue ou des deux yeux, une enflure de la gorge ou de la langue, des maux de tête, de la nausée, des vomissements, des étourdissements, un engourdissement ou une faiblesse inhabituelle, ou des crampes ou des douleurs musculaires
Certaines personnes peuvent ressentir des effets secondaires autres que ceux énumérés.Consultez votre médecin si vous remarquez un symptôme qui vous inquiète pendant que vous employez ce médicament.
D'autres agents peuvent-ils interagir avec ce médicament ?
Il pourrait se produire une interaction entre l'association vaccinale contre la varicelle et le vaccin Zostavax et l'un des agents ci-après :
- les anesthésiques;
- les antibiotiques macrolides (par ex. la clarithromycine, l'érythromycine);
- les antidépresseurs tricycliques (par ex. la clomipramine, la désipramine, la trimipramine);
- les antidiabétiques (par ex. l'acarbose, le chlorpropamide, le glyburide, la linagliptine, la metformine, la niacine, la rosiglitazone, le sulfonylurées);
- les antihistaminiques (par ex. la cétirizine, la diphenhydramine, la fexofénadine, l'hydroxyzine, la loratadine, la rupatadine, la terfénadine);
- les antifongiques dont le nom se termine en « azole » (par ex. l'itraconazole, le kétoconazole, le voriconazole);
- les antipsychotiques (par ex. la clozapine, la chlorpromazine, l'halopéridol, l'olanzapine, la quétiapine, la rispéridone);
- les anticoagulants (par ex. la warfarine, la flécaïnide, la rilménidine);
- les antipsychotiques atypiques (par ex.