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Cette année, la Journée internationale du bonheur, organisée chaque année le 20 mars par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a pour thème : « Promouvoir le bien-être, la résilience et les communautés durables » ; et la Journée de la prévention des pandémies, organisée chaque année le 22 avril par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’International AIDS Society, se penchera sur les « pandémies et le VIH : stratégies de prévention, de réduction des risques et de soins ».

Lors de la Journée mondiale de la santé 2021, la pandémie de Covid-19 a été désignée comme « pandémie de la faim » et le thème de cette année était : « Pandémie de la faim : agir maintenant ».

Les pandémies ont toujours été un sujet de préoccupation pour l’OMS. La pandémie de Covid-19 a eu des conséquences importantes sur les systèmes de soins de santé et sur les efforts internationaux de lutte contre les maladies infectieuses et les épidémies telles que le VIH. Les pandémies peuvent également avoir des conséquences directes sur les personnes et les communautés, notamment sur le bien-être mental et émotionnel.

L’OMS continue de surveiller de près les pandémies mondiales et le VIH, en particulier en ce qui concerne les populations vulnérables telles que les jeunes à risque, les communautés et les populations marginalisées, ainsi que les personnes qui consomment des drogues, les personnes transgenres, les travailleurs du sexe, les personnes vivant avec le VIH et les personnes qui vivent avec des troubles mentaux.

En collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé et l’International AIDS Society, l’OMS publie régulièrement des rapports sur les progrès réalisés dans le domaine de la lutte contre le VIH dans le monde. Les rapports sont régulièrement publiés sur le site Web de l’OMS : https://www.who.int/violencereduction/.

Déclaration commune de l’OMS, de l’Organisation mondiale de la santé et de l’International AIDS Society

Les 195 États membres de l’OMS se sont réunis à Genève, en Suisse, le 13 juillet 2021, pour examiner les progrès accomplis dans la riposte mondiale au VIH depuis la dernière réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, qui s’est tenue en avril 2020.

Dans le cadre de la réunion des ministres de la santé tenue le 23 juillet, l’OMS, l’Organisation mondiale de la santé et l’International AIDS Society (IAIS) ont publié une déclaration commune, qui souligne les progrès accomplis au cours de la dernière décennie dans la réponse mondiale au VIH, notamment dans le cadre du Plan stratégique de l’OMS 2016–2021. Les progrès accomplis ont été essentiels à la lutte mondiale contre le VIH/sida.

L’IAIS a déclaré que les progrès réalisés pour éliminer le VIH sont sans précédent : depuis 2015, 42 millions de personnes vivant avec le VIH et 35,7 millions de personnes sous traitement antirétroviral ont été atteintes. Cette réalisation majeure fait partie intégrante de la réponse globale à l’épidémie de VIH/SIDA et de ses conséquences socioéconomiques et humanitaires.

Tous les pays ont pris des mesures pour réduire la stigmatisation et la discrimination contre les personnes vivant avec le VIH, soutenir l’accès des personnes vivant avec le VIH à des soins de qualité et accroître les connaissances, les services et les politiques de prévention de l’infection. En 2020, près de 6,5 millions de personnes dans le monde ont été dépistées pour le VIH et 3,4 millions de personnes ont reçu un traitement antirétroviral.

Dans le cadre des 195 États membres de l’OMS, les pays se sont engagés à atteindre les objectifs de développement durable (ODD). L’IAIS s’est également engagée à poursuivre ses efforts dans la lutte contre le VIH/sida, notamment :

Ensemble, nous pouvons :

En 2022, nous nous engageons à :

Augmenter la couverture universelle du dépistage du VIH/sida dans toutes les populations cibles et dans tous les contextes.

Assurer un accès aux services de prévention, de traitement, de soins et d’accompagnement des personnes vivant avec le VIH.

Faire progresser le dépistage du VIH chez les femmes enceintes, y compris pour celles qui sont exposées à un risque accru de transmettre le VIH, et fournir des soins et un accompagnement aux femmes et aux adolescentes enceintes séropositives ;

Promouvoir l’utilisation du dépistage chez les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes.

Faire progresser la prévention du VIH chez les personnes qui s’injectent des drogues et qui utilisent d’autres substances ;

Soutenir le dépistage des personnes vivant avec le VIH à risque d’infection par le VIH et les populations à risque de transmission du VIH ; et

Promouvoir la prévention, le diagnostic, le traitement et la prise en charge du VIH chez les personnes transgenres.

Nous continuerons de :

Faire progresser les soins et l’accompagnement des personnes vivant avec le VIH et de faire en sorte que les personnes vivant avec le VIH reçoivent un traitement antirétroviral efficace ;

Promouvoir une utilisation efficace des traitements antirétroviraux chez les personnes qui s’injectent des drogues et qui utilisent d’autres substances ; et

Promouvoir l’accès à un traitement antirétroviral pour les personnes qui s’injectent des drogues et qui utilisent d’autres substances et qui ne sont pas couvertes par les régimes d’assurance maladie ; et

Faire progresser la prévention, le diagnostic, le traitement et la prise en charge du VIH chez les personnes transgenres.

Nous encourageons les gouvernements à :

Développer les services de prévention, de dépistage, de traitement et d’accompagnement pour les personnes vivant avec le VIH, les personnes séropositives, les personnes transgenres, les populations à risque d’infection par le VIH et les populations vulnérables ; et

Faire progresser l’utilisation des outils et des services de prévention, de dépistage, de traitement et d’accompagnement du VIH.

Nous continuerons de faire progresser le dépistage du VIH chez les femmes enceintes, y compris pour celles qui sont exposées à un risque accru de transmettre le VIH, et de fournir des soins et un accompagnement aux femmes et aux adolescentes enceintes séropositives.

Dans la lutte contre le VIH, nous continuerons de :

Développer les services et les outils de prévention du VIH pour les personnes qui s’injectent des drogues et qui utilisent d’autres substances, y compris les femmes et les adolescentes enceintes, les populations à risque d’infection par le VIH et les populations vulnérables ; et

Faire progresser l’utilisation des outils et des services de prévention et de traitement du VIH chez les femmes et les adolescentes enceintes.

Nous continuerons de faire progresser l’accès aux services de prévention, de dépistage, de traitement et d’accompagnement du VIH chez les personnes qui s’injectent des drogues et qui utilisent d’autres substances et qui ne sont pas couvertes par les régimes d’assurance maladie ; et

Promouvoir l’accès aux services de prévention du VIH, de dépistage et de traitement du VIH chez les personnes qui s’injectent des drogues et qui utilisent d’autres substances et qui ne sont pas couvertes par les régimes d’assurance maladie ; et

Faire progresser la prévention, le dépistage, le traitement et la prise en charge du VIH chez les personnes transgenres.

Les progrès accomplis ces dernières décennies dans la lutte contre le VIH/sida ont permis de sauver la vie de millions de personnes et ont considérablement amélioré leur qualité de vie et leur bien-être, y compris en ce qui concerne la réduction de la stigmatisation. En 2021, le nombre de décès liés au VIH dans le monde a été réduit de 72 % depuis 1990, et les nouvelles infections à VIH ont reculé de 23 % au cours de la même période. Aujourd’hui, près de 36 millions de personnes vivent avec le VIH. Ce nombre devrait atteindre 42 millions d’ici 2030.

Depuis la dernière réunion de l’Assemblée mondiale de la santé en 2020, le nombre de personnes vivant avec le VIH/sida a diminué. Mais la pandémie de Covid-19 a aggravé les effets déjà inquiétants de la pandémie sur le plan mondial. À l’échelle mondiale, la pandémie a entraîné une hausse de près de 11 millions de personnes vivant avec le VIH.

Depuis la dernière réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, la pandémie de Covid-19 a également aggravé les effets déjà inquiétants de la pandémie sur le plan mondial. En 2021, le nombre de personnes vivant avec le VIH/sida dans le monde a diminué. Mais la pandémie de Covid-19 a également aggravé les effets déjà inquiétants de la pandémie sur le plan mondial.

La prise de Provera pendant la grossesse

Durant la grossesse, la prise de Provera est contre-indiquée en raison du risque pour l'enfant à naître. L'acétate de médroxyprogestérone a des propriétés oestrogéniques et une action progestative. Il peut donc entraîner des effets indésirables graves chez les femmes enceintes et allaitantes.

L'utilisation du médroxyprogestérone peut être associée à un risque accru de fausse couche et de malformations congénitales chez l'enfant à naître. Ces risques sont toutefois moins importants lorsque le traitement est pris par les femmes utilisant des contraceptifs oraux.

En effet, la médroxyprogestérone agit sur l'ovaire et ne passe pas dans le placenta et ne modifie pas l'équilibre hormonal du nouveau-né. Le médroxyprogestérone est un progestatif qui peut être utilisé pour la contraception.

En cas de grossesse, l'utilisation de Provera n'est pas recommandée au cours du premier trimestre ou du deuxième trimestre, car cela augmente le risque de malformations congénitales.

Si vous envisagez une grossesse, ne prenez pas de Provera plus de 12 mois après la dernière injection, sauf si vous avez une prescription de contraception. Ne prenez pas de Provera plus longtemps que recommandé.

Ne prenez pas Provera si vous êtes enceinte ou pensez être enceinte.

Quelles sont les alternatives au Provera ?

Il existe de nombreux médicaments qui ne présentent aucun risque pour la grossesse, mais qui peuvent présenter des effets secondaires indésirables. Les alternatives au Provera sont la minidosée Diane 35®, le lévonorgestrel ® ou l'œstrogène synthétique Jasminal®. Certaines femmes trouvent que le choix entre la minidosée et le lévonorgestrel est une bonne idée.

Si vous préférez prendre un contraceptif oral plutôt qu'une injection, vous pouvez vous procurer un provera de deuxième génération.

Le provera de deuxième génération est disponible en différentes doses, et est donc adapté à chaque femme. Ce médicament est similaire au provera de première génération, mais contient moins d'hormones de la ménopause, ce qui le rend plus sûr pour les femmes qui n'ont pas encore eu leurs premières règles.

Quels sont les effets secondaires du Provera ?

Les effets secondaires de Provera sont rares et ne durent pas plus de quelques jours après la dernière injection. Les effets secondaires les plus courants sont les crampes menstruelles et les nausées.

Les femmes qui ont des effets secondaires rares pendant le traitement par Provera peuvent discuter de leurs symptômes avec leur médecin ou leur pharmacien. Ces effets secondaires peuvent être traités à l'aide de médicaments en vente libre.

Les effets secondaires courants des traitements contre la ménopause sont les bouffées de chaleur, les vertiges, les migraines, les changements de poids, les troubles de la concentration et les changements dans l'humeur.

Si vous ressentez des effets secondaires gênants après avoir pris Provera, parlez-en à votre médecin.

Quel est le risque de l'acétate de médroxyprogestérone ?

L'acétate de médroxyprogestérone est un médicament hormonal à base de progestérone synthétique utilisé pour prévenir la grossesse. Il est généralement administré aux femmes qui utilisent un contraceptif hormonal pour prévenir la grossesse.

L'acétate de médroxyprogestérone est utilisé en cas de ménopause artificielle ou en raison d'une ménopause qui n'a pas été traitée par la pilule. Le traitement peut également être utilisé pour traiter une maladie cardiovasculaire chez les femmes.

L'acétate de médroxyprogestérone ne passe pas dans le placenta et ne modifie pas l'équilibre hormonal du nouveau-né.

Le progestatif utilisé dans la progestérone synthétique est identique à l'acétate de médroxyprogestérone, qui est utilisé comme contraceptif oral.

L'acétate de médroxyprogestérone est utilisé pour traiter la ménopause et les symptômes de la ménopause.

L'acétate de médroxyprogestérone peut provoquer des effets secondaires tels que des bouffées de chaleur, des maux de tête et des changements d'humeur.

Si vous ressentez l'un de ces symptômes, parlez-en à votre médecin ou à votre pharmacien. Il est également important de noter que l'acétate de médroxyprogestérone peut ne pas être efficace si vous avez d'autres maladies qui peuvent affecter la progestérone, comme l'endométriose ou une maladie hépatique.

Quels sont les effets secondaires de l'acétate de médroxyprogestérone ?

Les effets secondaires de l'acétate de médroxyprogestérone sont rares. Cependant, ils peuvent inclure des nausées, des vomissements et des bouffées de chaleur. Ils peuvent également provoquer des changements de poids et des changements d'humeur.

Les symptômes de l'acétate de médroxyprogestérone peuvent être soulagés par des médicaments en vente libre ou par des changements de mode de vie.

Veuillez consulter la liste des effets secondaires possibles pour vous aider à comprendre les symptômes que vous pouvez ressentir.

Est-ce que l'acétate de médroxyprogestérone augmente le risque d'anovulation ?

L'acétate de médroxyprogestérone est utilisé comme contraceptif oral, mais il peut également être prescrit pour traiter la ménopause. La ménopause artificielle est une méthode qui peut entraîner une réduction significative de la production de sécrétions menstruelles, ce qui peut entraîner une anovulation.

L'acétate de médroxyprogestérone peut augmenter le risque d'anovulation, mais cela peut être contrôlé en prescrivant des contraceptifs oraux combinés à des œstrogènes pendant les mois où l'ovulation n'est pas désirée.

Quel est le prix de l'acétate de médroxyprogestérone ?

Le prix de l'acétate de médroxyprogestérone est déterminé par la pharmacie et peut varier en fonction du dosage.

Le coût de l'acétate de médroxyprogestérone varie généralement de 70 à 120 euros par injection. Il est important de noter que l'acétate de médroxyprogestérone est un traitement à long terme et peut avoir un impact sur votre portefeuille. Le prix de l'acétate de médroxyprogestérone peut être un facteur limitatif pour certaines femmes.

L'acétate de médroxyprogestérone peut être achetée en pharmacie et nécessite une ordonnance. Il est recommandé de parler à votre médecin avant de commencer le traitement.

Quelles sont les alternatives à l'acétate de médroxyprogestérone ?

Il existe de nombreuses alternatives à l'acétate de médroxyprogestérone, dont la progestérone naturelle. Le lévonorgestrel ® est un progestatif naturel qui est moins efficace que l'acétate de médroxyprogestérone mais moins coûteux que les autres options. Il existe également des options de progestatif naturel non stéroïdien telles que la finastéride. Ces options ont leurs avantages et leurs inconvénients, il est donc important de discuter de vos options avec votre médecin avant de choisir l'une ou l'autre.

En plus de l'acétate de médroxyprogestérone, il existe plusieurs options non hormonales qui peuvent être utilisées pour traiter la ménopause. Ces options sont le minidosé Diane 35®, le lévonorgestrel ®, l'œstrogène synthétique Jasminal® ou l'œstrogène naturel. Il est important de discuter de vos options avec votre médecin et de voir si l'une ou l'autre de ces options peut être bénéfique pour vous.

Quels sont les avantages et les inconvénients de l'acétate de médroxyprogestérone ?

L'acétate de médroxyprogestérone est un progestatif à base de progestérone naturelle utilisé pour réduire les symptômes de la ménopause. La progestérone est une hormone naturelle qui agit comme une aide au maintien de la fertilité, ce qui peut réduire le risque de problèmes de fertilité chez les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux.

L'acétate de médroxyprogestérone est utilisé par certaines femmes pour réduire les symptômes de la ménopause, notamment les bouffées de chaleur, les sueurs, les ballonnements, les maux de tête, les troubles du sommeil et les vomissements.

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